Les accidents d’enfants piétons sont encore beaucoup trop nombreux. C’est pourquoi la sécurité routière a sa place dans la scolarité de la maternelle au collège en passant évidemment par l’école primaire. Et c’est la raison pour laquelle, à la demande de Madame le Maire et en accord avec les enseignantes, les CE1 et CE2 de Sainte-Livrade ont bénéficié d’une formation qui s’est soldée par la remise du permis piéton.

Assurée par les gendarmes de la brigade de Léguevin, la formation s’est déroulée autour de trois axes principaux, à savoir le piéton face à lui-même, le piéton face aux transgressions des autres piétons et le piéton face aux transgressions des véhicules.

Le lundi 7 juin après midi, après une attention toute particulière portée aux derniers conseils de prévention donnés par les représentants de la brigade de Léguevin, accompagnée de Mme Couttenier Sylviane et des enseignantes, c’est avec le sourire que les écoliers des classes de Sainte-Livrade et de Bellegarde Sainte-Marie ont reçu le fameux permis, un autocollant et un petit livret. Simple carton qui symbolise l’une des bases de l’éducation à la sécurité routière.

Rappelons que le permis piéton, lancé en octobre 2006 dans les écoles, élargit la palette des outils pédagogiques de contrôle des connaissances et d’apprentissage de la rue mis à la disposition des enseignants et des élèves. L’initiative de la Gendarmerie Nationale permet avec l’APER (attestation de première éducation à la route), d’inculquer aux élèves les comportements adaptés aux différentes situations de la vie quotidienne, sur le chemin de l’école, lors de déplacements en voiture avec leurs proches, et aussi de vérifier, plus particulièrement auprès des adolescents par le biais de l'ASSR (attestation scolaire de sécurité routière), les connaissances élémentaires de sécurité routière acquises au cours de la scolarité.

Certains administrés ont signalé des dégâts sur leur habitation probablement liés à des phénomènes de sécheresse. Dans ce cadre la marche à suivre consiste, d’abord à s’en assurer par le biais de l’expert de l’assurance qui couvre l’habitation, puis à alerter la mairie afin que celle-ci puisse étudier la possibilité de déposer, auprès de la préfecture une demande de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle.

Le budget communal est un acte fondamental de la gestion municipale qui détermine annuellement l’ensemble des actions qui devront être entreprises et révèle les prévisions de dépenses et de recettes de la municipalité. Il a été voté par le conseil municipal dans sa séance du 12 avril 2010.

Il se présente en deux parties, une section de fonctionnement et une section d’investissement qui doivent être, chacune équilibrée entre dépenses et recettes.

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 *Taxes d’urbanisme : Les taxes d'urbanisme sont dues sur les opérations de construction, de reconstruction, d'agrandissement de bâtiments de toute nature à l'exception de simples travaux qui ne créent pas de superficie supplémentaire. Elles comprennent : La taxe locale d'équipement (TLE). La taxe départementale des espaces naturels sensibles (TDENS) La taxe pour le financement des Conseils d'Architecture, d'Urbanisme et d'Environnement (TDCAUE) La participation au financement des voies nouvelles (PVNR) La participation pour raccordement à l’égout La participation pour non réalisation d’aires de stationnement

**Fonds de compensation : Le fonds de compensation de la TVA (FCTVA) a succédé au fonds d'équipement pour les collectivités locales (FECL) pour permettre de compenser une partie de la charge de TVA supportée par les collectivités territoriales, leurs groupements et les établissements publics bénéficiaires, sur leurs dépenses réelles d'investissement.

Clémentine JAEN CELLA née à TOULOUSE le 1er juin 2010.